Voilà, la pratique de l'équitation (en tout cas, la nôtre) est sans cesse influencée par ce que l'on est.
On ne peut pas être un(e) autre à cheval...on ne peut être que nous-même.
Et quand nous-même, sommes absents, fatigués, insécurisés, questionnés, touchés, sublimés, apaisés, autorisés, nous transmettons cette joie, cette peine, cette nonchalance, cette agressivité, cette insécurité...
Il faut que l'on puisse se dire que ce n'est pas grave, que tout est fait de doute; et, sans doute, cette pratique plus que les autres puisque tellement chargée d'affectif.
Les doutes sont présents à chaque moment mais nous les "combattons" différemment selon notre état d'esprit du moment.
Alors, posons-nous, acceptons de ne pas faire...pour mieux revenir ensuite.
Je sais, c'est toujours plus facile à dire qu'à faire.
Il faut garder, au plus profond, ses rêves et se dire, toujours, que même si l'on arrive pas jusqu'à lui...on fera tout pour l'atteindre au plus près.
Amis de la poésie:bonsoir!!!!
Bossue pour p'tits pieds.