mardi, octobre 14, 2008
dimanche, octobre 05, 2008
Ce n'était pas qu'un écuyer...
« Au fond, tout vient du fait que l’être humain sait qu’il finira un jour. Les uns cherchent avec la peur de la fin, à se tromper eux-mêmes. Les autres croient que quelque chose existe après la mort du corps ; ceux-là peuvent être vrais avec eux-mêmes, car ils sont moins pressés, et croient que l’esprit ne disparaît pas. Et le fait d’être pressé n’est d’aucune manière synonyme d’énergie. Ne pas être pressé, c’est être calme, avoir la faculté de contrôler ses sentiments et donner la place à la raison. »
« Avoir conscience de son propre ridicule c’est être sain. Ne pas l’avoir c’est baser l’existence sur la vanité et l’amour-propre. On est infiniment plus heureux lorsque l’on sait rire de tout ce que l’on a de ridicule. »
« Pour créer ou pour voir la beauté, il est nécessaire d’aimer. »
« La méditation contemplative de la nature est si différente de la méditation entre quatre murs. »
« Chacun a sa croyance, sa religion ou sa philosophie mystique. C’est justement là que se trouve la faculté d’admirer, de créer, de sentir la Beauté et d’Aimer. »
N. Oliveira
« Avoir conscience de son propre ridicule c’est être sain. Ne pas l’avoir c’est baser l’existence sur la vanité et l’amour-propre. On est infiniment plus heureux lorsque l’on sait rire de tout ce que l’on a de ridicule. »
« Pour créer ou pour voir la beauté, il est nécessaire d’aimer. »
« La méditation contemplative de la nature est si différente de la méditation entre quatre murs. »
« Chacun a sa croyance, sa religion ou sa philosophie mystique. C’est justement là que se trouve la faculté d’admirer, de créer, de sentir la Beauté et d’Aimer. »
N. Oliveira
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